Economie

Le directeur Moyen-Orient et Afrique du Nord de la Société Financière Internationale (SFI), Mouayed Makhlouf, s’est entretenu avec des responsables des secteurs public et privé à l’occasion de son passage en Tunisie. L’entretien a porté sur les principaux secteurs sur lesquels portera la collaboration entre la SFI, filiale de la Banque Mondiale, et la Tunisie.

Les avoirs en devises s’établissent à la fin de la semaine écoulée, à 107 jours d’importations, soit 12.43 milliards de dinars, en régression par rapport à la semaine dernière soit 12.82 milliards de dinars et contre 113 jours d’importations en début d’année 2017.

A l’issue de la première réunion du nouveau Conseil National de la Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie, tenue le 20 janvier 2017, en vue d’élire le nouveau Bureau Exécutif de la FTH, la réunion a abouti à l’élection de la  composition suivante :

En marge du débat organisé par la Chambre Tuniso-Française du Commerce et de l’industrie, autour du thème « Quelle stratégie énergétique de la Tunisie à l’horizon 2030 ? », Hela Cheikhrouhou, la ministre l'énergie et des Mines, a abordé la question des énergies renouvelables.

Pour la ministre, le rôle de la STEG est primordial dans la stratégie énergétique de la Tunisie qui vise à garantir l’indépendance énergétique à travers, entre autres, la simplification des procédures d’octroi des permis de prospection.

Le président de la Banque Africaine de Développement (BAD), Akinwumi Adesina, a affirmé la décision d’ouvrir le bureau régional de la BAD pour l’Afrique du Nord en Tunisie, à l’issue de sa rencontre avec le avec le Chef du gouvernement Youssef Chahed, en marge de sa participation au 47ème Forum économique de Davos. 

Il est à rappeler que Jacob Kolster, directeur régional de la BAD, a évoqué l’ouverture dudit bureau en Tunisie, à l’occasion de Tunisia 2020.
 

La présidente de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), Wided Bouchamaoui a indiqué, sur les ondes de radio Express FM, que l’ensemble des procédures gouvernementales fraichement annoncées requièrent un aspect capital dans le but de préserver une capacité minimale de compétitivité avec les institutions étrangères ainsi que pour la facilitation des procédures vis-à-vis des investisseurs.