Economie

Comme annoncé par  la ministre de l’énergie, des mines et des énergies renouvelables, Hela Cheikhrouhou,  la stratégie énergétique de la Tunisie en termes d’électricité, vise à atteindre 30% d’énergies renouvelables en 2030 avec un départ de l’ordre de 3%.

En ce sens,  180 éoliennes seront installées à l’horizon 2018 dans deux régions du gouvernorat de Binette et ce, dans le cadre d’un projet de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) qui est actuellement développé dans les régions d’El Alia et de Djebel Kchabta.

Le président de la Chambre tuniso-britannique de Commerce et d’industrie, Mehdi Ben Abdallah a indiqué que la fréquence des échanges économiques entre la Tunisie et la Grande Bretagne est considérée comme faible, et n’atteint pas le seuil escompté. En effet, ces échanges s’établissent uniquement à hauteur de 800 millions de dinars. Mehdi Ben Abdallah a souligné l’importance et la nécessité de faire profit de l’opportunité de la sortie de la Grande Bretagne de l’Union européenne dans le but de consolider les échanges et les relations économiques.

TuNur Limited a déposé une demande d'autorisation auprès du ministère tunisien de l'Énergie, des Mines et des Énergies Renouvelables pour un projet d'exportation d’électricité solaire de 4,5 GW. Le complexe solaire sera établi dans le désert du Sahara dans l’ouest de la Tunisie, près de Réjim Maâtoug (gouvernorat de Kébili), il fournira de l'électricité décarbonnée au marché européen. Ce projet mobilisera 12,5 millions de dollars.

L’appel d’offres lancé par Al Karama Holding en juillet 2016 pour la cession de la totalité de la participation publique indirecte dans le capital de la société International School of Carthage (ISC) s’est finalisé avec succès.

L’acquisition de cent pourcent (100%) des parts sociales de l’ISC a été conclue pour un prix total de soixante-six millions six cent mille dinars tunisiens (66.600.000 TND).

Après une année 2016 marquée par une sécheresse exceptionnelle et une croissance faible de seulement 1,2 %, le Maroc devrait enregistrer un taux de 4,8 % en 2017, selon le ministre marocain de l'Économie et des Finances, Mohamed Boussaid.

Le déficit budgétaire devrait être revu à la baisse, passant de 4,1 % l'an dernier à 3,5 % cette année, alors que le déficit du compte courant devrait reculer à 4 % cette année, cibtre 4,4 % en 2016. Par ailleurs, le taux d’inflation s'est situé à 0,9 % au cours des six premiers mois de l'année.

L’argent liquide en circulation au 27 juillet 2017 a atteint les 11,173 milliards de dinars, d’après un rapport publié par la Banque Centrale de Tunisie. Il s’agit ainsi d’une hausse de 19% par rapport à l’année 2016, où le niveau de billets et monnaies en circulation n’as pas dépassé les 9,940 milliards de dinars. Depuis 2010, l’usage de l’argent liquide ne cesse de croître d’année en année.