dévaluation

Publié le: 14/10/2024 - 12:21
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Dans sa chronique hebdomadaire sur « Ecoweek », l’économiste Hachemi Alaya a mis en garde les autorités politiques et monétaires du pays contre une baisse précipitée du taux directeur de la BCT. Pour Alaya, une telle mesure «  .. ne ferait qu’aggraver la situation économique et financière du pays. Elle aurait pour effet de stimuler une demande de consommation de biens importés et donc, d’aggraver le déficit commercial sans pour autant stimuler l’investissement.”

Publié le: 20/04/2018 - 12:53
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Dans le cadre des réunions du FMI avec la Tunisie qui se tiennent du 20 au 22 avril 2018 à Washington, en vue de discuter des réformes économiques à court terme, l’ancien ministre des Finances, Hakim Ben Hammouda a indiqué au micro de la radio ExpressFM, que lesdites discussions seront difficiles au regard de la situation actuelle du pays. Il a ajouté que ces pourparlers requièrent de l’audace et du courage afin de pouvoir défendre la position de la Tunisie au mieux.

Publié le: 18/04/2018 - 16:27
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Le Conseiller économique auprès du chef du gouvernement, Faycel Derbel est revenu sur l’une des recommandations du FMI à l’adresse de la Tunisie à savoir : la dévaluation du 10% à 20% du dinar tunisien. Il a expliqué qu’il s’agit d’une solution de facilité et que cela peut conduire même à l’effet inverse et contribuera à la détérioration de 7 indicateurs économiques, à savoir, le déficit commercial, le taux d'inflation, la dette externe, le service de la dette, le déficit budgétaire, le pouvoir d'achat et l'endettement.

Publié le: 05/04/2018 - 11:29
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Bjorn Rother, qui dirige une mission d’experts du FMI en Tunisie, a indiqué que si la Tunisie veut relancer ses exportations et son économie, le dinar tunisien doit encore être dévalué, le considérant comme surestimé de 10 à 20 %. Il a ajouté que l’institution internationale n’a pas besoin de voir un ajustement brutal du dinar.

Publié le: 16/05/2017 - 23:20
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Le gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie, Chedly Ayari, a déclaré aujourd'hui mardi 16 mai 2017, qu'il tenait plus à préserver les réserves de devises du pays qu'à s'acharner à défendre la valeur du dinar. Il a ajouté qu'un matelas de devises était nécessaire pour backer la masse monétaire en circulation dans le pays. Il a rappelé la grave crise de la balance des paiements (mal) vécue par la Tunisie en 1986, quand les réserves en devises avaient fondu jusqu'à atteindre le seuil alarmant de moins de 5 jours d'importations.

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