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Face à la situation économique préoccupante de la Tunisie, le directeur général de l'intermédiaire en Bourse Tunisie Valeurs et ancien président du Conseil d'administration de la Bourse de Tunis, Fadhel Abdelkefi, a livré sa vision de la situation actuelle tout en présentant quelques solutions pour s’en sortir.

Fadhel Abdelkefi estime qu’actuellement, la Tunisie a rompu aujourd'hui avec les grands équilibres macroéconomiques dans la mesure où sa dette a quasiment doublé, sa croissance est famélique et ses balances commercial et de paiements se sont largement détériorés.

Les actionnaires d'Ennakl Automobiles, réunis en Assemblée Générale Ordinaire, le 14 mai, au siège de l'Amen Bank, ont approuvé la distribution d'un dividende unitaire, au titre de 2018 de 0,580 DT.

La date de la mise en paiement a été fixée au 22 août 2019. 

L’expert international en ingénierie financière, Yassine Ben Ismail a indiqué que les ondes de radio Express FM, que l’épargne est considérée comme le pilier de toute économie et une référence pour tous les grands équilibres économiques. A cet effet, il a expliqué que la pression fiscale en Tunisie a un impact fort important, alors que la fiscalité devrait être un outil de régulation et non pas une source de financement pour l’Etat. Il a ajouté que la fiscalité s’établie aujourd’hui à hauteur de 30% pour le particulier et de 45% pour les entreprises.

Selon le calendrier des réunions des organes du FMI, la Tunisie figure à l’ordre du jour du conseil d’administration du 19 décembre 2022.

Le conseil devra examiner et approuver la demande de la Tunisie pour le financement d’un programme de réformes qui s’étalera sur 48 mois au titre du Mécanisme élargi de crédit (MEC) d’un montant de 1 472 Mrds de DTS (équivalent à 1,958 Mrds de dollars) soit 270% de sa quote-part dans le capital du FMI.