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Pour relancer une économie en difficulté, la Tunisie compte beaucoup sur le projet « Tunisie Numérique » qui vise à faire du pays une plateforme entre les continents africain et européen.

En effet, le gouvernement tunisien vise à créer 100.000 emplois d’ici 2020 et compte pour cela sur le concours des entreprises étrangères. A ce propos, l’éditeur de logiciels libres, Alexandre Zaplovsky, voit en la Tunisie un réservoir de talent dans le secteur du numérique dont la compétitivité est un véritable atout.

A l’issue d’un entretien avec le chef du gouvernement Youssef Chahed, à Carthage le secrétaire général Sindiso Ngwenya, du Marché commun de l’Afrique orientale et australe , a déclaré que la Tunisie deviendrait membre du COMESA en octobre 2017 , un marché qui regroupe 19 pays africains dont les échanges ont dépassé 4500 milliards de dollars, au cours des prochaines, ils se situeront entre 6000 et 7000 milliards de dollars.

La Bourse de Tunis a mis à jour la situation de la participation étrangère au 25 janvier 2019. Les flux de capitaux étrangers les plus soutenus, apparaissent ainsi au niveau de la ligne ARTES, avec 41 mille actions à l'achat et 20 mille à la vente. Le taux de participation étrangère dans le capital de la société passe ainsi de 14,07 à 14,13%.

Durant la semaine au 25 janvier, des mouvements de ventes ont également été enregistrés sur SAH (LILAS), portant sur 32 milles actions. Les étrangers détiennent ainsi 20,93% du capital de la société.