La Banque Mondiale viens de réviser à la baisse ses prévisions pour le prix du pétrole brut en 2016 à 37 dollars contre une prévision de 51 dollars le baril annoncée en octobre 2015, dans la dernière édition de son rapport Commodity Markets Outlook, consacré chaque trimestre au perspectives des marchés des matières premières.

La Bourse de Tunis a connu une nette contraction des capitaux étrangers transigés sur la semaine au 29 janvier après deux semaines d'échanges vigoureux alimenté notamment par les transactions sur Tunisair. Les mouvements les plus vifs durant la dernière semaine de janvier ont porté sur One Tech Holding, objet d'un courant vendeur sur 76 mille actions. Le taux e participation étrangère dans le capital de One Tech Holding revient à ainsi à 22,44%. L'action finit à 6,900 DT, soit un faible gain hebdomadaire de 0,87%.

Les revenus consolidés de SERVICOM sont restés stable durant l’année 2015 avec un chiffre d’affaires de 65.1 MDT contre 65.7 MDT en 2014.

 Ainsi, la marge d’exploitation passe de 7% en 2014 à 11% en 2015 soit une amélioration de 4% et le résultat d’exploitation augmente de 66% passant de 4.2 MDT en 2014 à 7 MDT en 2015.

Les principaux faits marquants de l’année 2015 sont les suivants :

• Activité Travaux Publics :

La Bourse de Tunis achève le mois de janvier le plus prolifique depuis 2007 lorsque son indice de référence avait engrangé 10,02%. A fin janvier 2016, le Tunindex culmine à 5415,98 points, soit un gain YTD de 7,41 %. Le Tunindex 20, dont la composition a été mise à jour au début du mois avec la sortie de CITY CARS, SOTIPAPIER et TUNISIE LEASING et l'entrée de BNA, STB et TUNIS RE, finit en hausse mensuelle de 7,77%.

Abdellatif Chaïbi, expert financier et bancaire a critiqué, dans le cadre d’une interview accordée à expressfm le 29 janvier 2016, la démarche systématique - du moins dans le discours des autorités - de recourir à la dette extérieure afin de faire face au déficit budgétaire de la Tunisie, en sachant que la notation souveraine de la dette publique a été dégradée par les agences de notation, notamment l’agence japonaise Rating and Investment Information qui nous positionne au même grade que des pays comme l’Irak ou même le "Bengladesh".