Mise en liquidation, le 21 mars 2015 suite à une décision du président du Tribunal de Commerce de Casablanca, la société de raffinage marocaine SAMIR, contrôlée par le groupe saoudien Corral depuis 1997, a fait appel de cette décision.
Selon l’avocat de la SAMIR, un administrateur indépendant a été nommé pour gérer la société et dont la mission est de réussir à faire reprendre la production dans la raffinerie en attendant le verdict de l’appel interjeté.
En proie à des énormes difficultés financières, la SAMIR doit, notamment, environ 2,64 milliards de dinars à l’administration fiscale et douanière marocaines.
En 2015, le chef du gouvernement marocain, Abdelilah Benkirane, a admis devant le Parlement que « la privatisation de la SAMIR a été une erreur ! »
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