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Le Fonds koweïtien pour le développement économique arabe (KFAED) a approuvé un prêt de 500 millions de dollars en faveur de l’Egypte. Ce financement est destiné à financer des projets de développement dans la péninsule défavorisée du Sinaï. Plus précisément, il servira à financer des projets dans les secteurs de l’énergie, de l’eau et de l’assainissement, indiquant que le prêt sera remboursé sur une période pouvant aller jusqu’à 25 ans.

Le Qatar va quitter en janvier 2019, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), pour privilégier son industrie gazière,  a annoncé le ministre de l'Énergie de l'émirat gazier, Saad al-Kaabi, lors d'une conférence de presse tenue à Doha. Cette décision résulte d'une réflexion sur les moyens de renforcer le profil international du Qatar et de préparer sa stratégie de long terme.

 Les transferts de fonds de la diaspora égyptienne ont atteint 5,9 milliards de dollars au premier trimestre de l'exercice 2018/2019 contre 5,8 milliards de dollars durant la même période de l’exercice précédent, selon des données publiées par la Banque centrale égyptienne. Il s’agit ainsi d’une hausse de 1,5% en glissement annuel.

Ainsi, les envois de fonds se sont établis à 1,8 milliard de dollars en septembre 2018, contre 1,5 milliard de dollars au cours du même mois de 2017, enregistrant ainsi une hausse de 20,4% en un an.

Jean-Philippe Duval a été nommé Associé responsable des activités de conseil du cabinet PwC en Afrique francophone. Dans le cadre de sa nouvelle mission, il a notamment pour objectif de renforcer l’accompagnement des Champions africains en leur proposant des services innovants et ce, de la stratégie jusqu’à l’exécution. Ses priorités s’organisent selon trois axes majeurs : le digital, la formation des talents ainsi que la promotion de la diversité. Entré en fonction le 1er juillet 2018, il succède pour partie à Noël Albertus.

Selon les statistiques provisoires publiées mardi 30 octobre par  l'Office européen des statistiques Eurostat, la zone Euro a enregistré au troisième trimestre 2018, une croissance de 0,2%, la plus faible depuis le premier trimestre 2014, et deux fois moins que les deux trimestres précédents. L'Union monétaire a été principalement confrontée au ralentissement économique en Italie, les tensions commerciales avec les Etas Unis, les négociations sur le Brexit et les difficultés de l'industrie automobile.

Selon un nouveau rapport de la Banque mondiale, la croissance économique de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) devrait rebondir à 2 % en moyenne en 2018, contre 1,4 % en 2017. Ce rebond modéré s’explique principalement par la hausse récente des prix du pétrole, qui a bénéficié aux pays exportateurs d’or noir, mais a accentué la pression sur le budget des pays importateurs. Il reflète également l’impact des réformes modestes et des efforts de stabilisation entrepris dans certains pays de la région.