Le management du groupe TUNISIE LEASING a organisé hier, au siège de l’AIB, ne communication financière, deux semaines après l’Assemblée Générale. La réunion a été en grande partie consacrée aux prévisions du groupe pour

Le management du groupe

TUNISIE LEASING
a organisé hier, au siège de l’AIB, une communication
financière, deux semaines après l’Assemblée Générale. La réunion a été en grande
partie consacrée aux prévisions du groupe pour la période allant de 2008 à 2012.

 La réunion a débuté par un exposé des réalisations du
groupe branche par branche. On apprend ainsi que le leasing en Tunisie a
contribué à raison de 63% aux résultats du groupe. En ligne avec l’évolution du
secteur,

TUNISIE LEASING
reste leader en la matière avec une part de marché de 25%.
La filiale algérienne a enregistré en 2007 son premier exercice plein, avec un
recouvrement proche de 100%, LMA s’est offert une part de marché de 25% en
Algérie, soit la deuxième place. Les autres branches ont concouru à raison de 9%
pour le factoring, 6% pour la location longue durée et 15% pour les
participations.

 Les prévisions apparues dans le Business Plan,
s’échelonnent sur la période de 2008 à 2012 établies sur la base s’hypothèses
« prudentes ». Le Résultat net part du groupe, à 6,4 MD en 2007, est attendu à
9,133 MD en 2008 pour atteindre 13,557 MD en 2012. La contribution du leasing en
Tunisie, qui va croitre de 50% environ sur la période, devra se situer à moins
de 50% du résultat du groupe TLG, contre une hausse attendue des résultats de
LMA en Algérie, amenés à quadrupler d'ici 4 ans. Le groupe s’apprête d’ailleurs
à élargir son réseau commercial dans ce pays, à commencer par l’ouverture d’une
nouvelle agence à Sétif.

 Le groupe mise sur le marché algérien, et à ce titre,

TUNISIE LEASING
pourrait recourir à une augmentation de capital en 2010 pour
renforcer sa position dans la LMA. Le groupe étudie également le lancement de la
location longue durée et du factoring en Algérie. Une éventuelle présence en
Libye est également à l’étude, mais reste tributaire de la réglementation dans
ce pays, pour lequel le management ne cache pas son intérêt. Le marché marocain
quand à lui n’est pas dans la visée du groupe TLG, en raison principalement
d’une forte concurrence.

 

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