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Les entreprises cotées dans le monde ont établi un nouveau record de dividendes distribués en 2018, selon une étude publiée par la société de gestion anglaise Janus Henderson, avec une hausse de 8,5% comparés à l'exercice précédent, pour atteindre 1.370 milliards de dollars, soit plus que la valeur de l'indice CAC 40.

L'Africa CEO Forum vient de publier un rapport d’analyses et de recommandations portant sur les Zones Économiques Spéciales (ZES) en Afrique. Un rapport établi en partenariat avec OKAN Partners. Ce document met en lumière un constat : les ZES n’ont pas réussi à industrialiser l’Afrique jusqu’à ce jour et ce, en dépit d’un nombre de réussites réalisées notamment en Chine. Parmi les enjeux imposés au continent pour s’y préparer figurent l’installation d’un cadre attractif pour les investissements, le soutien de la compétitivité locale et la maximisation de l’impact social.

Le président du Cercle des financiers tunisiens, Abdelkader Boudriga a déclaré sur les ondes de radio Express FM, que l’augmentation de 11,2% du service de la dette publique s’explique par l'aggravation du déficit budgétaire résultant lui-même du déséquilibre entre les dépenses publiques et les recettes de l'État. Il a ajouté que le taux d'endettement public est passé de 38 % en 2010 à plus de 90 % à la fin de cette année.

Intervenu sur les ondes de radio Express FM, l’expert bancaire, Sofiane Lourimi a indiqué que les taux d’intérêts excessifs sont fixés par la loi de 1999 et ce, en fonction du type de prêt. Ladite loi impose à la Banque centrale de Tunisie et le ministère des Finances de publier chaque semestre les taux d’intérêts effectifs sur les prêts que la banque accorde au cours de la même période. Il a également indiqué que le taux d’intérêt excessif est plus élevé que le taux d’intérêt effectif à raison de 20%.