Après plus de dix ans d’attentisme, de grande instabilité politique, d’un cadre fiscal qui pénalise l’initiative et l’investissement (plus de 800 nouvelles mesures fiscales ont été introduites visant essentiellement le secteur organisé), de perturbation du cycle de production par de mouvements sociaux souvent non encadres et sauvages, la Tunisie risque de perdre une grande partie de ses investissements extérieurs.