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Le gouverneur de la Banque centrale, Marouan Abbasi a déclaré qu'il n'y avait aucune prise de conscience de la gravité de la situation, indiquant que des solutions existent, mais des priorités doivent être fixées d’abord. Il s’agit notamment de la discussion du programme de réformes avec le Fonds monétaire international afin que la pression sur le pays diminue et que les marchés financiers mondiaux et les agences de notation restaurent leur confiance en la Tunisie. 

La situation de la participation étrangère à la Bourse de Tunis, fait apparaitre Carthage Cement comme valeurs la plus active durant la semaine au 7 août, où les échanges ont globalement faibli sur le marché central pour s'arrêter à 17,2 MD.

Dans le cadre des réformes du régime des changes, le Maroc a entamé, le 9 mars, la deuxième phase du processus de flexibilité du Dirham, en élargissant la bande de fluctuation de ±2,5 à ±5%, par rapport à un cours central fixé par la Banque centrale sur la base d'un panier de devises composé de l’euro (60%) et du dollar américain (40%).

Le 15 janvier 2018, le Maroc avait adopté un régime de change flottant, en vertu duquel la parité du dirham est déterminée à l’intérieur d’une bande de fluctuation élargie à ±2,5 %, contre ±0,3 % auparavant.

A l’occasion du premier Forum du Crowdfunding en méditerranée, qui se déroule du 27 au 28 octobre 2016 à Gammarth, le ministre du Développement, de l’investissement et de la coopération international, Fadhel Abdelkefi, a assuré que tous les efforts seront déployés pour promulguer un projet de loi régissant le mode de financement participatif (crowdfunding) en Tunisie.